lundi 28 février 2011

subventions 2011 accordées aux CFA et aux sections d'apprentissage

La Région a voté les subventions 2011 accordées aux CFA et aux sections d'apprentissage : plus de 39 millions d'euros leur sont attribués, ce qui traduit la volonté de la Région de faciliter l'accès à ce mode de formation.

La Région a voté les subventions 2011 accordées aux CFA et aux sections d'apprentissage : plus de 39 millions d'euros leur sont attribués, ce qui traduit la volonté de la Région de faciliter l'accès à ce mode de formation.

La formation par alternance a fait la preuve de sa qualité et de son intérêt, pour les élèves comme pour les entreprises. Elle est un élément important du « Pacte de confiance pour l'emploi des jeunes » lancé par la Région.

dimanche 27 février 2011

Aide aux stages étudiants en zone rurale

Vous êtes étudiant en licence professionnelle, en master ou en école d'ingénieurs en Poitou-Charentes et vous allez faire un stage dans le cadre de l'année terminale de votre formation ? Vous pouvez peut être bénéficier d'une aide de la Région si vous effectuez ce stage dans une entreprise ou une association située en zone rurale de Poitou-Charentes.
Objectifs régionaux
Pour favoriser la rencontre entre les étudiants et les entreprises ou associations situées en milieu rural, la Région a décidé d'encourager les stages en milieu rural, difficiles à concrétiser du fait de l'éloignement des lieux de formation, en contribuant au financement des coûts de déplacement et d'hébergement des stagiaires.
Pour qui ?
Les étudiants de Poitou-Charentes qui effectuent leur stage de fin d'études dans une entreprise ou une association de la région de moins de 250 salariés.
Comment ça marche ?
L'étudiant adresse à la Région sa demande accompagnée des pièces justificatives, soit par courrier, soit courrier électronique à l'adresse ci-dessous.
Lorsque le dossier de demande est complet et éligible, la décision d'attribution est prise dans la limite du budget alloué à cette action. La notification de la décision est adressée à l'étudiant et le versement de l'aide est fait en une ou deux fois en fonction de la durée du stage.
Quelles conditions ?
Effectuer un stage, d'une durée comprise entre 2 et 6 mois, dans une entreprise ou une association :
située dans une commune de l'espace rural ou dans une commune rurale de l'espace urbain de Poitou-Charentes, telle que définie par l'INSEE sur la base du recensement de la population de 1999,de moins de 250 salariés et n'appartenant pas à un groupe excédant cet effectif,éloigné d'au moins 30 km du lieu de résidence de l'étudiant ou de ses parents et du lieu de sa formation.
Quel montant ?
L'aide est calculée en fonction de la durée du stage, sur la base de 50 € par semaine de stage.
L'aide est forfaitaire et ne peut être accordée qu'une seule fois au cours d'un cursus de formation supérieure.

samedi 26 février 2011

Un « bouclier territorial » pour la Vienne et ses habitants

Les 20 et 27 mars prochains, vous choisirez les femmes et les hommes chargés de gérer notre Département. Les membres du groupe des élus de gauche continueront de se mobiliser pour la justice sociale, le développement économique, l’emploi et les services nécessaires à tous au quotidien.
Nous souhaitons engager la Vienne dans l’action, malgré le désengagement d’un Etat qui par ses réformes et ses coupes budgétaires pénalise nos territoires. Face à la gravité de la situation, nous faisons le choix d’un véritable « bouclier territorial » pour vous protéger des effets de la crise et de la politique gouvernementale.
Aux côtés de la Région, le groupe des élus de gauche fait de l’emploi sa priorité. Aux côtés des communes et de leurs groupements, nous souhaitons investir dans l’aménagement concerté du territoire. Aux côtés des associations, nous souhaitons contractualiser autour de projets inscrits dans la durée. A vos côtés, nous nous engageons à rendre à la parole citoyenne toute sa place dans la construction de nouvelles politiques.
Les notions de bien grandir, bien vieillir, s’éduquer ou bien se déplacer doivent retrouver une place prépondérante dans les actions départementales, avec pour souci permanent la préservation de l’environnement. Ces enjeux nous obligent à la réflexion et à l’évaluation des politiques institutionnelles, afin de replacer l’humain au centre des préoccupations.
Nous défendons clairement ces valeurs et y ancrons nos propositions pour préparer l’avenir. Avec votre soutien, nous pouvons engager la Vienne sur le chemin de la solidarité.

vendredi 25 février 2011

APRES SON PASSAGE AU J.T. D’ANTENNE 2

DSK : Le Messie indécis. C’était prévisible, prévu et cependant on espérait. On espérait qu’il viendrait sans langue de bois laisser filtrer la décision qu’on attend de lui et il ne s’est rien passé. Rien d’autre que le discours distant de celui qui a tellement de recul par rapport aux évènements, qu’il peut donner la leçon à n’importe quel dirigeant d’Europe occidentale, cette zone où tant reste à faire en matière de politique sociale. Quel scoop de nous rappeler qu’il y a d’autres choix politiques possibles que ceux de Sarkozy et de son gouvernement ‘has been’ ! Quelle révélation que d’apprendre l’importance de l’avis de sa femme dans ses décisions capitales ! Nous n’attendons pas un inspecteur Colombo du FMI pour nous révéler à l’instant ultime la clé du mystère, la révélation de la solution idéale. Nous voulons seulement des raisons d’espérer. Cet espoir passe par la perspective du retour aux valeurs traditionnelles de la gauche, la rupture avec cette parenthèse bling-bling qui n’aura apporté que déliquescence de l’Etat et accroissement de la précarité, augmentation de l’incertitude du jour suivant pour des classes sociales de plus en plus nombreuses. Vos états d’âme, Monsieur Strauss-Kahn, et votre soi-disant obligation de réserve ne sont pas les réponses qu’attendent les militants et adhérents socialistes ni qu’espèrent tant de sympathisants de gauche comme de nombreux déçus de la bande à Sarko . Pour les socialistes convaincus, n’ajoutez pas à la confusion que les cadres de notre parti savent déjà si bien entretenir sans vous. Pour eux et pour tous les autres, ceux qui vous croient apte à générer un consensus synonyme de changement et de progrès social, trouvez les moyens d’une communication véritable ou alors, annoncez dès maintenant que vous envisagez de rester dans votre bunker américain (si vous n’êtes pas autorisé à dire que vous serez candidat à la présidentielle française). Cette valse hésitation va donner le tournis à tout le monde et permettre à l’héritière du F.N. de continuer à s’agiter en rêvant des scores de son père et ça : nous n’en voulons plus.
Philippe Fortin
Socialiste Loudunais

info

Sarkozy a assez de défauts et d'échecs à son passif, inutile d'aller chercher des références d'un autre âge.

La droite en perdition n'a plus d'arguments à avancer pour défendre son bilan et elle est discréditée pour présenter un nouveau projet. Sa seule voie de salut réside dans l'exacerbation des passions quitte à aller trop loin.
Militant socialiste , je ne peux qu'appeler mes camarades à demeurer sur le terrain du combat politique des idées, à défendre un projet et bientôt un candidat.
Le dialogue et la négociation sont les marques de fabrique de la social-démocratie, puissent-elles inspirer tout le PS voire toute la gauche.
Qu'ils dégagent ! Nous allons battre la droite et le sarkozysme, et peut-être les battrons-nous plus tôt que prévu. Mais faisons-le proprement !

jeudi 24 février 2011

Contribuables continuez a dormir (debout)

derniere nouvelles selon RTL
En bref - L’essentiel de l’info




24/02/2011 - 13h45



Est-il raisonnable pour un Premier ministre de rentrer chez lui le week-end à 200 kilomètres de Paris à bord d'un Falcon de la République ? François Fillon, déjà mis en cause pour ses vacances en Egypte tous frais payés, est cette fois-ci pointé du doigt pour ses week-ends dans la Sarthe. Le chef du gouvernement utilise un avion gouvernemental pour rejoindre sa maison près de Sablé-sur-Sarthe, à 255 km de Paris, pour un trajet estimé à 20 000 euros, soit beaucoup plus cher que le train. Une option coûteuse difficile à justifier en période de vaches maigres des finances publiques, mais Matignon a des arguments pour défendre ce choix.

Les collectivités rassemblées

Rien ne pourrait cependant être accompli si nous n'avions le pouvoir, nous, socialistes, d'afficher demain une véritable union des territoires. Avec la Région et son ancrage à gauche sous la conduite de Ségolène Royal, les circonscriptions législatives où trois élus sur quatre appartiennent au Parti socialiste (Alain Claeys, Jean-Michel Clément, Catherine Coutelle), l'Europe et sa députée Bernadette Vergnaud, les villes et villages, de Poitiers à Civray, de L'Isle-Jourdain à Lusignan, et ce département où, demain, grâce à vous, nous serons majoritaires.



Oui, c'est vraiment Ensemble que nous menons déjà le combat des réformes justes et de la croissance durable pour tous. C'est plus encore ensemble demain que la gauche et les socialistes relèveront le gant de formidables enjeux : l'humanisme face à la mondialisation, des richesses mieux partagées, une égalité réelle des chances et de la réussite.

mercredi 23 février 2011

Contribuables, dormez tranquilles

Cliquer sur l'image pour l'agrandir

mardi 22 février 2011

Logement : l’Etat rackette, la majorité départementale se tait

Le ministre du logement dénonce les « dodus dormants », et l’Etat prélève 1 900 000 euros sur la trésorerie d’Habitat 86, l’Office Public de l’Habitat de la Vienne, durant les trois prochaines années au titre des « solidarités horizontales ». A travers cette mesure, le gouvernement taxe les plus modestes. Les locataires apprécieront.
Au titre des « solidarités horizontales » (appréciez la formule…) le gouvernement a décidé de ponctionner 245 millions d’euros sur la trésorerie des organismes HLM. Officiellement, seuls étaient concernés les organismes qui n’ont rien construit depuis 5 ans.
Pourtant, Habitat 86 va devoir payer 1 900 000 euros durant les trois prochaines années, et au moins 400 000 euros par an les années suivantes. Habitat 86 est donc considéré comme un organisme « riche » que l’on peut taxer sans le moindre scrupule, alors qu’il dispose tout juste des moyens nécessaire pour entretenir et développer son parc de logements. Or la trésorerie d’Habitat 86, c’est tout simplement l’argent des locataires. Habitat 86 serait donc un « dodu dormant », selon la formule délicate du secrétaire d’Etat au logement Benoît Apparu.
Les locataires apprécieront.
Dans ces conditions Habitat 86 va être contraint de revoir à la baisse sa politique d’entretien de son patrimoine et de construction de nouveaux logements.
Le président d’Habitat 86, Henri Colin, par ailleurs vice-président du conseil général, a saisi les maires des principales villes de la Vienne, ainsi que les parlementaires, pour s’insurger de ce prélèvement. Interpelé à ce sujet par Jean-Marie Paratte lors de la dernière commission permanente, le 18 février, Henri Colin a répondu par un silence assourdissant.
Son embarras peut se comprendre si l’on sait que cette mesure inique a été votée par ses amis politiques de la majorité gouvernementale (et départementale). Le sénateur Fouché, n’a pas souhaité s’exprimer lui non plus.
Les locataires apprécieront.

lundi 21 février 2011

Les entreprises se mobilisent pour l'emploi des jeunes

« Face au constat évident mais terrible que la France est un des pays où le taux de chômage des jeunes est un des plus élevé, il est de notre responsabilité de dire aux jeunes que nous allons les accompagner, et les aider à intégrer le monde du travail. Pour cela, nous avons besoin des entreprise et, comme nous l'avons vu hier, elle sont prêtes à se mobiliser. Pour répondre ensemble au défi de l'emploi des jeunes, nous avons largement rassemblé tous les acteurs concernés pour profiter de leurs expertises et de leurs propositions pour l’emploi, l’apprentissage, la formation par alternance et l’engagement citoyen (service civique).
La Région propose des aides pour l'emploi des jeunes, la formation, l'apprentissage. J'appelle les entreprises à les utiliser, car ainsi c’est un message de confiance et d’encouragement que nous envoyons aux jeunes. »
Ségolène Royal
Présidente de la Région Poitou-Charentes

dimanche 20 février 2011

Un nouveau souffle pour notre département

Tribune à lire également en page 18 du magazine Vivre en Vienne
Le vote du budget 2011 a mis au jour un exécutif en bout de course, sans majorité, et qui doit composer avec les ambitions et les pressions des uns et des autres.
Sur chaque dossier le président passe plus de temps à mener des tractations de couloir plutôt qu’à répondre aux attentes légitimes des habitants. Sans projet clairement défini, sans jamais mener d’évaluation de ses politiques, la droite départementale navigue à vue et paraît plus que jamais usée et divisée.
Pourtant les enjeux sont importants. Que ce soit dans le domaine de la prise en charge de la dépendance, des modes de garde pour les tout-petits, ou pour assurer un aménagement du territoire cohérent, équitable et respectueux de notre environnement, il est nécessaire d’inventer de nouvelles politiques adaptées aux besoins de la société d’aujourd’hui.
C’est dans ce cadre que le groupe des élus de gauche, uni et déterminé, présente un projet résolument tourné vers l’avenir et répondant aux préoccupations des citoyens.
La Vienne a besoin d’une gouvernance avec tous et pour tous. Contrairement à ce qui se passe actuellement, nous avons la volonté de concilier l’efficacité économique, le progrès social et la protection de l’environnement.
Le Département actuellement dirigé par l’UMP se fait complice des politiques nationales conduites par la droite, celle-là même qui a terriblement malmené les services publics de proximité, le monde rural et fragilisé les plus précaires d’entre nous.
Les élus de gauche sont prêts à relever ces défis et à en assumer les responsabilités.

samedi 19 février 2011

Le développement durable, socle économique

Construction de véhicules propres, énergies renouvelables encouragées, recyclage des déchets, récupération de l'eau, transports limitant les effets de serre, la Région Poitou-Charentes a engagé un véritable combat dans ces domaines d'avenir.

Le département peut s'en inspirer avec bonheur, non seulement parce que ces mesures « font du bien à la planète », mais aussi parce qu'elles sont de forts vecteurs d'emploi et de croissance.
Parallèlement, nous nous emploierons à coordonner les actions des communes et apporter dans chaque bourg un appui au maintien et à la création de commerces, services et artisanat.

En milieu rural, à côté de pôles de développement durable comme celui du Vigeant où le rôle du député socialiste Jean-Michel Clément s'est avéré primordial, la revitalisation des secteurs agricoles les moins favorisés sera prioritaire dans le respect de l'environnement naturel.

vendredi 18 février 2011

Une information claire

Pour que vous puissiez avoir une vision objective de nos propositions et leur réalisation, nous considérons que vous devez recevoir l'information la plus précise et la plus transparente. Pas de promotion partisane, simplement un exposé clair et complet qui prenne en compte les aspects budgétaires.
Cette exigence nous apparaît d'autant plus nécessaire que notre département va être au cœur de l'organisation de grands travaux, ligne de chemin de fer à grande vitesse (LGV) et Center Parc notamment. Là encore, les intérêts particuliers devront céder le pas face à de nouvelles possibilités pour la Vienne de se développer, créer de la richesse et de l'emploi en sortant de la spirale de la grisaille.
Nous serons au côté des artisans, commerçants, industriels, entrepreneurs, salariés, demandeurs d'emploi, pour que se réalise une grande chaîne des solidarités actives dont nous vous livrerons, mois après mois, les avancées

jeudi 17 février 2011

Refusons la précarité

La précarité est une réalité qui se conjugue au quotidien pour des milliers de familles en Vienne. Face aux aléas de la vie, nous pensons que les pouvoirs publics et les collectivités territoriales doivent réagir, en particulier dans les domaines de l'insertion et du logement.
Refuser qu'une partie de nos concitoyens vivent dans le dénuement et redonner espoir en favorisant le retour à l'emploi, c'est notre volonté que nous conjuguerons de plusieurs façons :
La création d'une aide pour le recrutement en CDI de bénéficiaires des minimas sociaux.
Un pass mobilité à un euro par jour en faveur des chômeurs à faible revenu
Enfin, nous serons au côté des associations humanitaires et caritatives qui constituent, hélas trop souvent, l'ultime et indispensable recours.

mercredi 16 février 2011

Dépendance : rester solidaire de nos aînés

A l’heure où notre société est de plus en plus marquée par l’individualisme, il est un domaine où la solidarité est un devoir : celui du bien-être de nos aînés. Nous devons assumer collectivement les besoins d’aide et de soins des séniors.
Rendu public le 1er février dernier, le rapport des commissions des affaires sociales et des finances du Sénat démontre une fois encore la vision étroitement comptable de l’UMP et du Gouvernement sur la question de la dépendance.
Ce texte propose de limiter les coûts, mais sans avoir une analyse de l’impact du vieillissement sur la société ni chercher à répondre aux besoins concrets des personnes. Le débat sur la dépendance est de fait cantonné à la seule question financière et oriente les réflexions vers la solution de la privatisation.
Pour soi-disant éviter de déposséder les départements de leur rôle dans l’accompagnement des personnes en perte d’autonomie, il exclut d’emblée la création d’une nouvelle branche de la sécurité sociale et propose un système reposant essentiellement sur l’assurance privée non obligatoire.
Nous souhaitons le maintien d’un droit universel, assumé solidairement à travers l’impôt appliqué à tous les revenus, ceux du travail, comme ceux du capital.
Au moment où s’ouvre le débat sur la dépendance, nous rappelons notre attachement à la création d’un droit à une compensation universelle de la perte d’autonomie, quels que soient l’âge et les ressources de l’intéressé, dans le cadre d’un nouveau champ de la protection sociale.

mardi 15 février 2011

Pour que chacun trouve sa place dans la société

Notre combat sera tourné résolument vers l'aménagement du territoire Vienne en ciblant plusieurs objectifs prioritaires : > Moderniser et créer des voies d'accès afin d'offrir une mobilité améliorée pour tous, où que se trouve le lieu d'habitation.

> Réduire la fracture numérique par la suppression des zones blanches de téléphonie mobile et d'ADSL, le développement de la fibre optique.
> Offrir aux plus jeunes un cadre rénové et un accompagnement périscolaire renforcé dans les collèges.
> Permettre à nos aînés d'être hébergés dans une structure d'accueil confortable ou de continuer à vivre chez eux sans crainte de l'isolement.
> Faire en sorte que chacun, y compris les plus démunis, trouve sa juste place dans la société, et redessiner les contours d'un département agréable à vivre et attractif.
Il y a là des challenges dont la réussite sera le résultat de choix que nous aurons clairement définis et qui auront été largement approuvés par les habitants.

lundi 14 février 2011

Y-A-T-IL UN HERITAGE JEAN TOURET ?

La question va devoir être posée. Il semble désormais acquis que le conseiller sortant a renoncé sans pression d’aucune sorte mais sans doute victime d’une sorte de lassitude, de découragement. Conscient de quitter une assemblée à l’avenir plombé par des comptes en total déséquilibre où une « minorité exécutive » continue de gérer au quotidien, comme depuis des décennies et où il ne voyait rien se profiler pour faire face aux réformes nécessaires, qu’elles soient délibérées ou subies. On peut aisément imaginer que son tempérament n’ait pu lui faire envisager d’y retourner, de repartir pour trois ans. Courte période, sans projet structurant pour l’avenir si ce n’est celui unanimement revendiqué du Center Parcs en réalité essentiellement porté par le sénateur Raffarin. Ce même sénateur nous était annoncé comme successeur possible de la représentation loudunaise, coupant la route, dans ce cas, aux ambitions non dissimulées du maire de Loudun dans l’échiquier politique régional. Mais instantanément, après le refus de l’ancien premier ministre, la candidature E. Bénas venait combler l’espace laissé vacant. Devant cette situation, quel choix possible pour une partie de l’électorat devenue subitement orpheline? Se résoudre à rejoindre les rangs d’E. Bénas ? S’abstenir et laisser d’autres décider ? Soutenir un opposant (pourquoi ne pas rêver) ?
Certains pensent avoir finalement trouver la panacée en s’attachant les services d’un avocat des causes perdues, commis d’office pour les assister dans un sorte de sauvetage de la continuité. Il y a donc bien quelque chose à récupérer. Faire fructifier le désamour grandissant entre le maire de Loudun et son électorat en surfant sur la notoriété du sortant pour limer les dents de notre « speedy toubib ». Mais au-delà d’une très hypothétique élection, Patrice Wozniack ferait-il comme Elefthérios Bénas ? Se mettrait-il très rapidement à jour de cotisations UMP pour intégrer le groupe de Claude Bertaud ? Si tant est que ce groupe demeure aux affaires, continuerait-il avec eux à ne pas vouloir réclamer à Sarkozy les 200 millions d’euros dus au département par l’état ? Quel choix ferait-il, investi d’une telle fonction ? Non adoubé par C. Bertaud, rejoindrait-il les membres d’ « Initiatives et progrès » dont les seules initiatives ont été d’empêcher tout progrès. Même ancrée très profondément dans un terreau local, la quête d’un tel mandat constitue un réel engagement politique, implique le choix d’un courant d’idées dans lequel on se reconnaît et où l’on travaille pour le bien de son canton. C’est se moquer du monde à vouloir dire que les opinions politiques s’arrêtent aux frontières des cantons ou des communes. On ne peut pas, comme M. Bénas, affirmer que l’on fait confiance au gouvernement quand il supprime la taxe professionnelle, réforme les collectivités ou nous incite à une vaccination de masse et prétendre que les opinions politiques (des autres) doivent rester à la porte des conseils municipaux ou en dehors des urnes des cantonales. Finalement, s’il y a un héritage Jean Touret, c’est peut-être une sorte de message à l’attention de ceux qui se veulent ses successeurs dans les troupes de C. Bertaud. On ne peut pas être à la fois dehors et dedans. On choisit en fonction de ses convictions mais le jour où l’on y trouve plus son compte on prend la mesure des conséquences. C’est mon avis (n’ayant pas reçu ses confidences) et je pense que ses électeurs en tireront leurs propres conclusions.
Philippe Fortin
Candidat P.S. sur le canton de Loudun

Seniors, handicapés : solidarité !

Plus de 8.000 seniors bénéficient dans la Vienne de L'APA (Aide Personnalisée à l'Autonomie), créée par le gouvernement socialiste de Lionel Jospin. Ils doivent être accueillis selon leurs désirs et besoins dans des établissements adaptés et confortables ou avoir la possibilité de continuer à vivre à leur domicile. C'est pour cela que nous, socialistes, voulons que les coûts qui restent à la charge des résidents en maisons de retraite soient adaptés à leurs possibilités financières souvent modestes.
De la même façon, nous développerons la politique d'aide familiale pour ceux qui vivent à leur domicile.
Les personnes souffrant de handicap disposeront d'un service de déplacement à la demande. Notre volonté est de faciliter au maximum leur intégration par une meilleure accessibilité aux transports, comme à l'école, au travail, au logement, à la culture et aux loisirs.

dimanche 13 février 2011

Notre action passe par votre écoute

Fini le temps où les décisions se prenaient en comité restreint dans les bureaux du Conseil Général de la Vienne. Nous, socialistes, sommes pour notre part déterminés à être plus que jamais à votre écoute. Le dialogue et la concertation, qui sont les indispensables points de départ avant toute action, s'appuieront donc dès ce printemps sur un vrai partenariat avec celles et ceux qui vous représentent dans les associations, les syndicats, le monde économique, les collectivités. Chacun aura également la parole et pourra soumettre ses idées et projets au travers l'organisation de réunions thématiques, états généraux de la culture, du sport et de la vie associative, de l'emploi et l'insertion, l'action sociale et la solidarité.
Donner de la cohérence et rassembler autour des projets selon de véritables choix stratégiques seront nos priorités.

Une information claire
Pour que vous puissiez avoir une vision objective de nos propositions et leur réalisation, nous considérons que vous devez recevoir l'information la plus précise et la plus transparente. Pas de promotion partisane, simplement un exposé clair et complet qui prenne en compte les aspects budgétaires.
Cette exigence nous apparaît d'autant plus nécessaire que notre département va être au cœur de l'organisation de grands travaux, ligne de chemin de fer à grande vitesse (LGV) et Center Parc notamment. Là encore, les intérêts particuliers devront céder le pas face à de nouvelles possibilités pour la Vienne de se développer, créer de la richesse et de l'emploi en sortant de la spirale de la grisaille.

Nous serons au côté des artisans, commerçants, industriels, entrepreneurs,agriculteurs, salariés, demandeurs d'emploi, pour que se réalise une grande chaîne des solidarités actives dont nous vous livrerons, mois après mois, les avancées.

samedi 12 février 2011

une proposition de loi pour l’instauration d’un bouclier rural

Le monde rural traverse actuellement une crise sans précédent.
Les médias la réduisent souvent à la crise du monde agricole. Mais le problème va bien au-delà. Il touche à l’abandon de la politique d’aménagement du territoire qui défait peu à peu les services publics, paupérise les territoires les plus défavorisés et relègue des populations entières dans l’oubli.
Au plan national, on le voit dans le secteur sanitaire où la fermeture de 42 établissements hospitaliers et la pénurie croissante de médecins créent de véritables déserts médicaux. A titre d’exemple, chez nos voisins de la Creuse, les patients de Guéret sont priés d’aller suivre leur traitement de radiothérapie à plus d’une heure trente de chez eux !
Il en est de même pour l’école, où les fermetures de classes conjuguées à la purge des effectifs enseignants affectent en priorité les territoires en difficulté comme le Pays Montmorillonnais.
La carte judiciaire a été pareillement retaillée avec la diminution d’un quart des juridictions qui éloigne un peu plus la justice des citoyens. Dans la circonscription, nous avons payé un lourd tribu avec la fermeture des tribunaux de Civray et Montmorillon.
La Poste tout en annonçant le maintien du nombre de ses 17 000 points de contact, se tourne vers les communes pour atteindre cet objectif.
Même la principale fonction régalienne de l’Etat, la sécurité n’est plus égale selon que l’on soit en ville, en banlieue ou à la campagne avec le regroupement forcé de services de gendarmerie, la fermeture de commissariats et la dissolution d’escadrons de CRS pour limiter les coûts.
Où est l’égalité, où est l’unité de la République dans cet abandon de territoires entiers ?
Les collectivités territoriales tentent vaille que vaille de compenser cette défection de l’Etat. Mais l’austérité financière à laquelle le pouvoir les soumet limite leurs champs d’intervention. Seul un nouveau partenariat entre la puissance publique et les collectivités peut redonner vie à un des principes fondateurs de la République, la solidarité entre ses villes et ses campagnes. C’est le sens du bouclier rural que je défends avec mes collègues députés socialistes, radicaux et citoyens en signant la proposition de loi qui se veut le promouvoir.
Son idée centrale est de reconstruire un réseau de services publics de proximité en définissant les obligations que doit remplir l’Etat pour répondre aux besoins fondamentaux de ses citoyens, où qu’ils vivent ! Mais cette protection publique n’est pas suffisante. Le véritable défi est de redonner à ces territoires la maîtrise de leur destin.
Le second volet de notre proposition de loi vise à améliorer les dispositifs de développement économique et industriel sans lesquels la décentralisation sera une coquille vide. L’équipement numérique, les infrastructures de transports, le soutien bancaire aux PME, le maintien du commerce et de l’artisanat sont des instruments incontournables si l’on veut donner aux territoires les mêmes chances de décoller.
Au moment où les Français vont choisir leurs équipes départementales, cette proposition de loi que nous inscrirons dans notre journée d’initiative parlementaire le 24 mars, permettra d’éclairer les enjeux de société auxquels le pays est confronté. L’Etat minimum ou l’égalité réelle ? La compétition entre les territoires ou la décentralisation solidaire ? Ces choix engagent le pays pour les 20 ans à venir.

jeudi 10 février 2011

Plan exceptionnel dans les collèges :

 les élus de gauche réfléchissent et agissent pour l’intérêt collectif

Le Conseil Général a pour compétence obligatoire la gestion des 35 collèges de la Vienne et des personnels techniques qui y sont rattachés. Si certains établissements ont connu des réhabilitations importantes ces dernières années, l’état des bâtiments reste très disparate d’un canton à l’autre et des travaux pourtant urgents peinent à se réaliser.
Afin d’offrir aux collégiens un environnement de travail de qualité, et à l’heure des nécessaires économies d’énergie dans les structures d’accueil collectives, le Conseil Général se doit d’engager les crédits adéquats pour répondre aux enjeux du développement durable et endiguer une dégradation galopante de son patrimoine.
Conscients des nombreux retards accumulés et de la nécessité d’agir, les élus de gauche ont proposé et obtenu la mise en œuvre dès 2011 d’un « Plan collèges » de 30 millions d’euros sur 5 ans, enveloppe venant s’ajouter au budget annuel dévolu à l’exercice de cette compétence.
L’exécutif actuel n’a pu que valider ce plan empreint de bon sens, à tel point qu’il s’en adjuge aujourd’hui la paternité en prétextant y réfléchir de longue date. Cependant, et afin de masquer ses lacunes, la droite départementale a joué d’un subterfuge pour rattacher à ce plan des travaux qu’elle aurait dû réaliser depuis des lustres !
Les élus de gauche continueront donc de s’engager avec force et détermination pour que la gestion des collèges s’inscrive enfin dans une démarche concertée et durable.

mercredi 9 février 2011

Journée mondiale des zones humides : les actions de la Région

Préservation des zones humides : la Région mène depuis 2004 une politique volontariste pour protéger et conforter ces étendues essentielles à la biodiversité. Le Marais Poitevin est la deuxième plus grande zone humide de France. La préservation des zones humides et de leurs ressources est devenue aujourd'hui un véritable enjeu pour la protection et le maintien de la biodiversité. La Journée mondiale des zones humides, le 2 février, nous rappelle que ces étendues de marais, de fagnes, de tourbières ou d'eaux naturelles sont de plus en plus menacées.
Au cours des cinquante dernières années en effet, la pollution, l'irrigation, le changement climatique ont entraîné la disparition de 50% de ces zones dans le monde. Une perte extrêmement dommageable tant ces zones sont essentielles à une grande partie des espèces animales de la planète.
En Poitou-Charentes, 8,1% de la surface est classée en zone humide et le marais poitevin, principal exemple en région, est la deuxième plus grande zone humide de France. Ces zones renferment un patrimoine végétal et animal et une productivité biologique remarquable.
La Région Poitou-Charentes mène depuis 2004 de nombreuses actions pour la préservation des zones humides :
soutien à l'action du Parc Interregional du Marais Poitevin dans son Plan d'action pour l'aménagement et la restauration des marais mouillés (plantation de frênes et de peupliers et promotion de l'activité pastorale);
participation au Plan Loire Grandeur Nature (sauvegarde des zones alluviales naturelles et sensibilisation des scolaires et du grand public sur les sites restaurés);
politique régionale de gestion des rivières, qui a permis l'entretien de plus de 200 km de rivières;
soutien au boisement des terres agricoles afin de protéger et améliorer la ressource en eau;
politique régionale en faveur du paysage : depuis 2004, 1, 3 million d'arbres ont été plantés

mardi 8 février 2011

La pseudo majorité départementale au bord de l’implosion ?

Cette question semble légitime tant les nouvelles de divisions de la droite départementale éclatent quotidiennement au grand jour. Après Chauvigny, Pleumartin, Poitiers IV ou encore La Trimouille, c’est maintenant au tour du canton de Loudun d’être le théâtre de cette « saga » tragi-comique où les candidats de droite se disputent les fauteuils d’élus. La rumeur a même fait état durant quelques heures d’une candidature du sénateur Raffarin, venant alimenter la confusion au sein d’un groupe déjà secoué par ses luttes internes.
Quoi qu’il en soit, les acteurs de ce mélodrame semblent bien éloignés des préoccupations des citoyens et du débat politique. Le retrait de l’actuel Conseiller général de Loudun s’accompagne d’un avis plutôt négatif sur la capacité de l’exécutif actuel à conduire une politique ambitieuse pour le Département.
Pourtant, cette période difficile nous oblige à faire preuve d’inventivité. En matière de développement durable, de gestion des collèges et des transports ou d’appui aux territoires, les défis sont importants. Dans ces conditions, il est impératif de modifier les pratiques afin de répondre aux attentes légitimes des habitants de la Vienne.
Les élus de gauche sont prêts à relever ces défis et en assumer les responsabilités.

lundi 7 février 2011

LE TEMPS DES GIROUETTES

Le vent du Nord(Vienne) ne parviendra sans doute jamais à faire tourner, ici, des éoliennes et il passe sa colère en faisant valser les candidatures de droite sur le canton de Loudun.
Comment s’y retrouver ? Nous avions un maire qui, fraîchement élu annonçait péremptoirement qu’il serait « naturellement » candidat aux cantonales puis, un conseiller en titre affirmant qu’il ne laisserait jamais la place à ce prétendant, dut-il se maintenir contre lui au second tour. Suspense insoutenable ! On sentait M. Bénas piaffant dans ses starting-blocks et sans doute contraint à faire profil bas en attendant son heure. Que de supputations de tous ordres, que de tractations ont du se faire. Tout cela pour en arriver à un retrait surprise et une hypothétique candidature Raffarin annoncée par le rétractant et apparaissant comme un baroud d’honneur envers le successeur honni qui, lui-même, s’apprête à faire la déclaration à laquelle nous serions tous suspendus. Quelle triste pantalonnade. Ce qui se passe dans notre canton n’est pas unique dans la Vienne puisque l’on recense pas moins de 5 à 6 circonscriptions renouvelables où 2 candidats au moins se réclament de la mouvance de droite (on ne peut même plus parler de majorité) pour briguer les suffrages. Tout cela suffira-t-il pour que M. Bertaud conserve sa voix déterminante au Conseil Général devenu vaisseau sans capitaine ? Cela n’honore pas l’exécutif départemental sortant et les électeurs auront toute latitude pour le lui faire savoir. Quand à nous, la cohésion de notre groupe, candidats et élus en place, nous permet de travailler en toute sérénité. Nous oserions à peine dire que tout va bien et que notre projet alternatif est en place, candidats et remplaçants prêts à assumer leurs responsabilités et les informations à ce sujet sur le point d’être adressées aux électeurs. Les 20 et 27 mars l’unique question sera, pour chacun, à Loudun comme aileurs, de savoir s’il souhaite conserver une équipe en complète déliquescence ou rompre, enfin, avec des décennies de gestion « sénatoriale ».
Philippe Fortin
Parti Socialiste – Conseiller municipal et candidat sur le canton de Loudun



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dimanche 6 février 2011

Notre action passe par votre écoute

Fini le temps où les décisions se prenaient en comité restreint dans les bureaux du Conseil Général de la Vienne. Nous, socialistes, sommes pour notre part déterminés à être plus que jamais à votre écoute. Le dialogue et la concertation, qui sont les indispensables points de départ avant toute action, s'appuieront donc dès ce printemps sur un vrai partenariat avec celles et ceux qui vous représentent dans les associations, les syndicats, le monde économique, les collectivités. Chacun aura également la parole et pourra soumettre ses idées et projets au travers l'organisation de réunions thématiques, états généraux de la culture, du sport et de la vie associative, de l'emploi et l'insertion, l'action sociale et la solidarité. Donner de la cohérence et rassembler autour des projets selon de véritables choix stratégiques seront nos priorités.

samedi 5 février 2011

Pour que chacun trouve sa place dans la société

Notre combat sera tourné résolument vers l'aménagement du territoire Vienne en ciblant plusieurs objectifs prioritaires :
 Moderniser et créer des voies d'accès afin d'offrir une mobilité améliorée pour tous, où que se trouve le lieu d'habitation.

Réduire la fracture numérique par la suppression des zones blanches de téléphonie mobile et d'ADSL, le développement de la fibre optique.

 Offrir aux plus jeunes un cadre rénové et un accompagnement périscolaire renforcé dans les collèges.

 Permettre à nos aînés d'être hébergés dans une structure d'accueil confortable ou de continuer à vivre chez eux sans crainte de l'isolement.

 Faire en sorte que chacun, y compris les plus démunis, trouve sa juste place dans la société, et redessiner les contours d'un département agréable à vivre et attractif.

Il y a là des challenges dont la réussite sera le résultat de choix que nous aurons clairement définis et qui auront été largement approuvés par les habitants.

vendredi 4 février 2011

Le temps du changement est venu

En mars prochain, dans dix-neuf cantons, les électeurs sont appelés à voter afin de renouveler pour moitié les élus de l’assemblée départementale. Il s’agit là d’un moment clé dans l’histoire de la Vienne gouvernée sans partage par la droite et l’UMP depuis plusieurs décennies.
En effet, face à une « majorité » très relative et désunie, les socialistes présentent une équipe soudée, dynamique, motivée et qui peut l’emporter, donnant ainsi tout son sens au terme changement.
Réclamé par une très grande partie d’entre vous, celui-ci donnera la possibilité à chacun de dire non à des élus qui soutiennent activement les décisions du gouvernement. Il est aussi le moyen de mettre en œuvre une autre politique, à votre écoute et porteuse de valeurs fortes : le respect, la solidarité, l’humanisme, la citoyenneté.
Le projet que nous proposons s’inscrit également en synergie avec ce que construit la Région, écologie et développement durable. Un véritable aménagement du territoire qui prenne en compte aussi bien les secteurs urbains que ruraux dans toutes leurs composantes. Une meilleure protection des personnes, notamment les plus âgées et les plus démunies. L’accès à l’emploi pour tous qui passe par un véritable plan d’aide à l’insertion. Un accompagnement des jeunes tout au long de leur scolarité. Un partenariat avec le monde associatif, sportif et culturel, doublé d’un appui fort aux bénévoles.
Vous aurez demain la possibilité de faire exister ce « bien vivre ensemble » afin de construire un nouvel avenir. En mars, chacune de vos voix comptera pour le bâtir.
Gérard BARC

jeudi 3 février 2011

Mardi 1er février. Conférence de presse du Parti Socialiste de la Vienne.



Candidats masqués

Les candidats du Parti Socialiste affichent clairement leurs opinions. Leur appartenance politique ne fait de doute pour personne. Mais qu'en est-il à droite où l'on se cache derrière l'appellation résolument anodine de « Majorité départementale » ?

En fait, tous ces candidats appartiennent à l'UMP ou des mouvances proches de Nicolas Sarkozy et du gouvernement en place. Mais il est vrai qu'à l'heure du mécontentement général face aux réformes imposées contre le plus grand nombre, il est sans doute préférable de dire, comme ce candidat s'adressant à un journaliste, qu'il est encarté mais sans avouer dans quel parti.

Alors même qu'il vient d'être élu délégué cantonal... UMP !

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mercredi 2 février 2011

Ségolène Royal reproche au recteur de Poitiers son "absence de transparence"

source afp
Ségolène Royal, présidente (PS) de la région Poitou-Charentes, a reproché par courrier lundi un "manque de transparence" sur les formations au recteur de l'académie de Poitiers, estimant que "l'éducation n'est plus une priorité de l'actuel gouvernement", notamment dans la région.
Dans un courrier adressé à Martine Daoust et vue par l'AFP, Mme Royal s'inquiète de l'avenir de l'offre de formation sous statut scolaire dans la région et lui reproche de n'avoir pas donné assez de détails sur le projet de carte des formations 2011, lors d'une réunion du Conseil Académique de l'Education Nationale, le 10 janvier, ce qu'elle qualifie de "manque de transparence".
"Je relève que l'avis prévu dans la loi avant que la carte des formations ne soit arrêtée n'a pu être valablement rendu faute de disposer des éléments nécessaires d'appréciation", observe Mme Royal, assurant que, depuis cette date, "les services de la Région ont saisi" ceux du recteur pour en savoir plus.
"A ce jour, les seules informations en notre possession proviennent soit de la presse, soit des parents d'élèves, enseignants ou des chefs d'établissement, ce qui n'est pas conforme aux dispositions législatives du Code de l'Education qu'il vous appartient de respecter". "Pratiquement toutes ces informations confirment nos craintes : l'éducation n'est plus une priorité de l'actuel gouvernement, plus particulièrement en Poitou-Charentes", écrit la présidente.
Elle invite donc Mme Daoust "à (lui) transmettre par retour (ses) projets", et à "(lui) communiquer les projets de fermetures et d'éventuelles ouvertures de formations (qu'elle envisage)".
Le rectorat n'était pas joignable lundi en début de soirée.