vendredi 31 décembre 2010

Bonne Année 2011

La section du Parti Socialiste de Loudun vous présente ses meilleurs voeux pour l'année 2011

Ségolène Royal vous adresse ses vœux les plus chaleureux pour 2011

« Je vous souhaite, à toutes et tous, habitants de Poitou-Charentes, une très bonne et heureuse année 2011. Qu'elle soit synonyme de bonheur et d'épanouissement professionnel et de joies familiales. J'ai une pensée particulière pour les jeunes de Poitou-Charentes, avec lesquels la région lance un pacte de confiance afin que chacun trouve un emploi ou une activité. La même volonté de la Région est mobilisée pour améliorer la situation de nos aînés et notamment des retraités qui perçoivent une petite retraite, en particulier les femmes seules. Nous sommes riches de leurs atouts et de leurs expériences : je proposerai au mois de mars un plan pour les seniors.
Je reste également attentive à la situation des habitants de notre littoral, fortement marqués cette année par la tempête Xynthia. A leurs côtés, nous nous sommes mobilisés pour les soutenir face à cette épreuve et les aider à la surmonter.
J'ai une pensée aussi pour l'ensemble des habitants qui souffrent, personnes seules et isolées, personnes sans emploi, victimes de la crise économique et sociale que nous traversons. A ceux-là, je veux leur dire que nous travaillons pour eux, pour améliorer leur quotidien.
Je pense aussi à toutes les forces vives de la région, les entreprises performantes, celles qui se battent et que nous soutenons. En 2011, Poitou-Charentes sera encore une Région qui protège, qui innove et compte sur chacun de vous pour avancer.
Très bonne et heureuse année »
Ségolène Royal
Présidente de la Région Poitou-Charentes

mercredi 29 décembre 2010

Avant la censure

Les élus de gauche s’engagent pour la création du Center Parcs

Les élus de gauche ont validé le protocole d’accord entre le Conseil général et le Groupe Pierre et Vacances SA pour la création d’un Center Parcs sur les communes des Trois Moutiers et Morton. La Commission Permanente du jeudi 16 décembre 2010 a été l’occasion de questionner les porteurs de projets sur différents aspects pratiques et juridiques du dossier.
Le groupe sera particulièrement vigilant sur la qualité des emplois pourvus ainsi que sur les conditions de travail (restauration collective, crèche d’entreprise...).

vendredi 24 décembre 2010

message de Segolene Royal

« Je vous souhaite, à toutes et tous, habitants de Poitou-Charentes, une très bonne et heureuse année 2011. Qu'elle soit synonyme de bonheur et d'épanouissement professionnel et de joies familiales.

J'ai une pensée particulière pour les jeunes de Poitou-Charentes, avec lesquels la région lance un pacte de confiance afin que chacun trouve un emploi ou une activité. La même volonté de la Région est mobilisée pour améliorée la situation de nos aînés et notamment des retraités qui perçoivent une petite retraite, en particulier les femmes seules. Nous sommes riches de leurs atouts et de leurs expériences : je proposerai au mois de mars un plan pour les seniors.
J'ai une pensée aussi pour l'ensemble des habitants qui souffrent, personnes seules et isolées, personnes sans emploi, victimes de la crise économique et sociale que nous traversons. A ceux-là, je veux leur dire que nous travaillons pour eux, pour améliorer leur quotidien.
Je pense aussi à toutes les forces vives de la région, les entreprises performantes, celles qui se battent et que nous soutenons. En 2011, Poitou-Charentes sera encore une Région qui protège, qui innove et compte sur chacun de vous pour avancer.
Très bonne et heureuse année »
Ségolène Royal
Présidente de la Région Poitou-Charentes

espace

mercredi 22 décembre 2010

Les Cantonales c'est quoi ?

En France, l'élection cantonale permet d'élire les conseillers généraux.(et pas les cantoniers!!) La durée du mandat d'un conseiller général est de 6 ans. Les conseils généraux sont renouvelés par moitié tous les trois ans. Les dernières élections cantonales ont eu lieu les 9 et 16 mars 2008 et les prochaines auront lieu les 20 et 27 mars 2011 .
Ces élections ont lieu, depuis 1998, le même jour que des élections municipales ou régionales. Ce ne sera pas le cas en 2011. Le mandat des conseillers généraux élus en mars 2011 expirera en mars 2014

Mode de scrutin

La circonscription électorale pour l'élection des conseillers généraux est le canton.
Le mode de scrutin pour l'élection des conseillers généraux n'a pas changé depuis 140 ans. Il s'agit d'un scrutin majoritaire uninominal à deux tours (comme pour l'élection présidentielle et les élections législatives) :
un candidat est élu au premier tour s'il a obtenu la majorité des suffrages exprimés et si ceux-ci représentent au moins 25% des inscrits ; peut se présenter au second tour, tout candidat ayant obtenu au premier tour un nombre de voix égal à au moins 10% des inscrits ;
Dans tous les cas de figure, les deux candidats arrivés en tête au premier tour, et quel que soit leur résultat, peuvent se présenter au second tour ;
le candidat élu au second tour est celui qui obtient le plus grand nombre de suffrages et, en cas d'égalité de suffrages (rare sans être impossible), le plus âgé remporte les élections.
Exceptions dans la durée du mandat
Un précédent gouvernement avait eu l'intention de faire coïncider le renouvellement des conseils généraux avec celui des conseils régionaux, et de supprimer par la même occasion le renouvellement par moitié des conseils généraux tous les trois ans.
Pour ce faire, une loi de 1990 avait prévu que le mandat des conseillers généraux élus en mars 1985 serait prolongé jusqu'en mars 1992 , tandis que les conseillers généraux de l'autre série seraient élus en mars 1994 pour 4 ans seulement. Ensuite, à partir de 1998, les conseillers généraux des deux séries seraient élus ensemble pour 6 ans.
Une nouvelle loi, au début de 1994, a abrogé la suppression du renouvellement par moitié et la réduction de la durée du mandat des conseillers généraux élus en mars 1994, et a porté exceptionnellement la durée de leur mandat à 7 ans de manière à rétablir l'ordre normal de renouvellement des conseils généraux.
Incidemment, le renouvellement d'une des séries coïncide désormais avec les élections régionales, tandis que celui de l'autre série coïncide avec les élections municipales. La réforme envisagée en 2009 prévoit une élection unique pour tous les conseillers territoriaux.

mardi 21 décembre 2010

semaine dans notre pauvre France

Les petites phrases ont fait l’actu
pour la suite cliquez sur le titre

lundi 20 décembre 2010

Pour l'Élysée, les "vieux" coûtent trop cher à l'État

Alain Minc : son Père peut être fier de lui... A quand l'Euthanasie obligatoire pour les vieux
Invité de l'émission "Parlons Net", sur France-Info, Alain Minc, le conseiller du Président de la république, a évoqué le problème de l'assurance maladie
Pour régler "l'effet du vieillissement" sur les comptes de la Sécu, il a une solution toute simple, qu'il qualifie de "progressiste" : faire payer les "très vieux" qui coûtent trop cher selon lui à l'État.
Le conseiller et ami de Nicolas Sarkozy, Alain Minc, évoque une anecdote personnelle: "J'ai un père qui a 102 ans. Il a été hospitalisé 15 jours dans un service de pointe. Il en est sorti. La collectivité française a dépensé 100.000 euros pour soigner un homme de 102 ans. C'est un luxe immense, extraordinaire, pour lui donner seulement quelques mois ou quelques années de vie supplémentaires". Et de poursuivre qu'il trouve "aberrant" que l'Etat "m'ait fait ce cadeau, à l'oeil".
Et il poursuit : "Je pense qu'il va bien falloir s'interroger sur le fait de savoir comment on va récupérer les dépenses médicales des très vieux, en ne mettant pas à contribution ou leur patrimoine, quand ils en ont un, ou le patrimoine de leurs ayants droit". Il s'en serait déjà entretenu avec Nicolas Sarkozy.
Que restera-t-il aux "très vieux" et "très pauvres"? A part la corde, on ne voit pas...
Il n'est en tout cas pas étonnant que seuls 17 % de nos aînés ont l'intention de revoter pour Nicolas Sarkozy en 2012.
Une question: combien ont coûté les études de ce "monsieur" à la collectivité ... pour arriver finalement à dire tant de conneries
Faites suivre, SVP !!
Nous sommes tous des futurs vieux !!!

dimanche 19 décembre 2010

Quand les entreprises du CAC 40 échappent à l'impôt

sources "le figaro"

Total, Danone ou encore Arcelor Mittal ne reversent rien à l'Etat au titre de l'impôt sur les sociétés, affirme le Journal du Dimanche. Rien d'illégal à cela : de nombreuses niches permettent d'échapper au fisc en toute impunité.
Les plus grosses entreprises françaises ne sont pas forcément celles qui rapportent le plus aux caisses de l'Etat. Selon une enquête publiée ce week-end dans le Journal du Dimanche, une entreprise du CAC 40 sur quatre n'aurait pas payé d'impôt sur les sociétés (IS) l'an dernier. Danone, Suez environnement, Total, Saint-Gobain ou encore Schneider échappent par exemple complètement à ce prélèvement. La moitié des sociétés du CAC 40 n'ont pas souhaité répondre aux questions du journal, mais «si elles ne disent rien, c'est qu'elles ne paient pas grand-chose», estime dans ses colonnes un avocat fiscaliste. Comme l'avait déjà souligné un rapport du Conseil des prélèvements obligatoires en octobre dernier, les sociétés du CAC 40 sont en moyenne imposées à hauteur de 8% de leurs bénéfices, contre 33% normalement. Les PME, moins à même d'exploiter les différentes niches fiscales, en reverseraient en moyenne 22%.
Car c'est en vertu du code des impôts que la contribution des grosses entreprises atteint un niveau aussi bas. Malgré le taux élevé de l'impôt sur les sociétés en France, nombre de dispositifs fiscaux, tels le report illimité des pertes, le crédit impôt-recherche ou encore la déductibilité des intérêts d'emprunt, leur permettent en effet de limiter leurs versements. Selon le Conseil des prélèvements obligatoires, le coût pour l'Etat des différentes niches fiscales et sociales bénéficiant aux entreprises atteint 172 milliards d'euros en 2010. Danone, par exemple, déduit de ses impôts les emprunts contractés pour l'acquisition de Numico en 2007, précise le JDD. Et si d'autres entreprises, telles Total ou PSA, ne reversent rien cette année pour avoir été dans le rouge, elles pourront limiter également leurs versements les années suivantes, grâce au report illimité des pertes déplorées durant la crise.
Finalement, sous l'effet de ces multiples dispositifs, le produit de l'impôt sur les sociétés se réduit progressivement. D'où l'idée, soutenue par l'Elysée, d'une refonte du dispositif pour une plus grande convergence avec d'autre Etats européens, et en particulier l'Allemagne. La pression exercée sans succès sur l'Irlande pour qu'elle relève son IS - le plus bas d'Europe à 12,5% -, a souligné le caractère crucial pour la France et l'Allemagne de cette variable fiscale. Si l'établissement d'un même taux pour tous les pays européens paraît illusoire, la France et l'Allemagne souhaiteraient aboutir, au moins, à la fixation d'une assiette similaire. La Commission européenne devrait faire des propositions en mars prochain.

samedi 18 décembre 2010

Budget 2011 : une séance pathétique pour un vote au rabais

La dernière séance de l’année, consacrée au vote du Budget Primitif 2011, n’a pas été des plus sereine pour la minorité exécutive, obligée de recourir aux tractations de dernière minute entre deux couloirs pour s’assurer d’un vote positif. Pathétique…
C’est à une véritable fin de règne qu’il nous a été donné d’assister lors de cette séance publique de clôture. La minorité n’étant pas assurée de voir validées ses propositions budgétaires, elle a cédé aux désidératas du groupe Initiatives et Progrès qui, avec trois élus, arrive à influencer les décisions.
Pour tenter de faire illusion, le mode de scrutin a même été modifié. Traditionnellement qualifié à main levée, il a été substitué par un scrutin dit public où chaque élu annonce à haute et intelligible voix son vote. Cette subtilité du règlement intérieur permet également d’accorder au Président du Département la prédominance de sa propre voix en cas d’égalité des suffrages.
Les précautions furent heureuses puisqu’à l’issu du vote final de ce Budget Primitif 2011, c’est à une parfaite égalité que les votes ont abouti. Avec 19 voix pour et 19 contre, c’est finalement l’expression du Président qui a permis de faire pencher la balance. Force est de constater que c’est par la plus petite des fenêtres que la minorité exécutive sauve ses propositions.
De son côté le groupe des élus de gauche a pointé les incohérences et les coups de rabot d’un budget dont l’objectif est de faire illusion jusqu’aux prochaines élections cantonales. Malgré nos injonctions d’engager enfin un recours sérieux pour recouvrer une dette de l’Etat au Département qui dépasse aujourd’hui les 200 millions d’euros, malgré nos multiples appels à réévaluer les politiques départementales pour en améliorer l’efficacité, l’exécutif reste imperméable à tout changement.
En matière de développement durable, de gestion des collèges et des transports ou d’appui aux territoires, l’immobilisme semble être le leitmotiv affiché. Pour cette raison, le groupe des élus de gauche a voté contre un budget de plus en plus éloigné des attentes des habitants.
A l’issue de cette séance, chacun aura compris qu’une fin de règne était proche et que le Président du Conseil général ne pourrait plus continuer longtemps à porter seul et à bout de bras une gouvernance qui a fait son temps. L’heure du changement est venue, et les élus de gauche sont prêts à prendre leur entière responsabilité pour servir la Vienne et ses habitants.

mercredi 15 décembre 2010

La Région Poitou-charentes adopte un budget d'investissement sans hausse d'impôts

Lundi 13 décembre, le budget 2011 de la Région Poitou-Charentes a été adopté par les élus régionaux réunis en session présidée par Ségolène Royal. Ce budget d'investissement est basé sur trois principes :
des dépenses dynamiques tournées vers l’avenir et la lutte contre le chômage ;

pas de hausse de la fiscalité pour la sixième année consécutive ;

une maîtrise de la dette, stable depuis 2005.

En 2011, la Région finance ses grands projets et continue à engager des actions innovantes pour les habitants du Poitou-Charentes.

le pacte pour l'emploi des jeunes, autour de l'accès à l'emploi, du développement de l'apprentissage, de la formation et du service civique avec des actions financées dès 2011 pour plus de 4500 jeunes par un budget de 15 millions € ;
le fonds de développement des éco-industries et des véhicules électriques, pour soutenir les projets nés du pôle des éco-industries et du salon de la croissance verte ainsi qu'accompagner la diffusion des voitures électriques, avec une enveloppe de 12 millions € ;

Le budget régional s'élève à 685 millions d'euros en 2011.

mardi 14 décembre 2010

ene derive peu connue

source AFP et aujourdhui en france

L'Etat peut vendre les données personnelles des cartes grises, selon Aujourd'hui en France

Une loi votée "discrètement" en 2009 permet à l'Etat de vendre les coordonnées personnelles contenues dans les fichiers de demandeurs de cartes grises, révèle mardi Aujourd'hui en France.
 Un article de la loi d'orientation et de programmation sur la performance de la sécurité intérieure (Loppsi 2), qui n'est pas encore entré en vigueur, a été adopté en avril 2009 pour permettre d'abord aux constructeurs automobiles d'avoir accès à ces données afin d'effectuer des rappels de voitures pour des raisons de sécurité.
"Mais l'utilisation commerciale de ces fichiers est parfaitement possible", déplore le quotidien.
Les données figurant dans ces fichiers - nom, date de naissance, adresse du demandeur, marque et puissance du véhicule - peuvent en effet être communiquées à des tiers "à des fins statistiques, scientifiques ou historiques", mais aussi, "et c'est là où le bât blesse", selon le journal, elles peuvent être vendues "à des fins d'enquêtes ou de prospections commerciales".
Les députés vont débattre mardi de la manière dont l'Etat pourra contrôler les acheteurs de fichiers contenant des données personnelles.

dimanche 12 décembre 2010

Financement des trois allocations individuelles de solidarité

Le Sénat examinera ce jeudi la proposition de loi sur le financement des trois allocations individuelles de solidarité (RSA, APA, PCH) que versent les départements au titre de la solidarité nationale. Déposée par trois groupes de la Haute Assemblée, ce texte fixe les principes d’une compensation juste et équilibrée de ces prestations sociales universelles créées au début du XXIe siècle.
Claudy LEBRETON, Président de l’Assemblée des Départements de France (ADF) se félicite que le parlement reconnaisse ainsi la spécificité des difficultés financières rencontrées à l’heure actuelle par les départements car il y a urgence à traiter cette question au niveau national.
L’ADF attend des parlementaires qu’ils s’expriment par un vote positif à l’issue de ce débat et reconnaissent la spécificité des missions de solidarité nationale conduites par les départements en donnant droit à une réelle couverture financière par l’Etat des dépenses engagées par les conseils généraux au titre des trois allocations (APA, PCH, RSA).
Souhaitons qu’ainsi, grâce aux parlementaires, le 9 décembre 2010 marque une nouvelle étape dans les relations entre l’Etat et les départements.

samedi 11 décembre 2010

Suite à sa saisine par les parlementaires socialistes,

Suite à sa saisine par les parlementaires socialistes, le Conseil Constitutionnel a statué le 9 décembre sur la loi de réforme des collectivités territoriales. par Elisabeth Guigou Le Parti socialiste se félicite de cette décision par laquelle les sages ont censuré l’article 6 de la loi ainsi que le tableau annexé qui fixe le nombre de conseillers territoriaux par départements, jugeant que les écarts trop importants de représentation dans six départements portaient atteinte au principe d’égalité devant le suffrage.
Le Conseil valide donc notre analyse.
Le gouvernement a tenté, avec cette réforme, de procéder à une lamentable opération de tripatouillage électoral. Le Conseil l’a légitimement rappelé à l’ordre.
Pour le reste, le rendez-vous est dans les urnes. La réforme du gouvernement procède à une véritable recentralisation et menace d’étranglement financier les collectivités territoriales.
Le Parti socialiste continue la lutte sur le terrain politique et appelle les Français à se mobiliser en mars prochain, à l’occasion des élections cantonales, pour exprimer leur rejet de cette réforme et des orientations voulues par N. Sarkozy.
Le Parti Socialiste, fidèle à l’héritage républicain, propose un nouvel acte de la décentralisation.Il rappelle qu’il abrogera cette contre-réforme des collectivités territoriales dès son retour aux responsabilités et mettra en œuvre une grande réforme de progrès, qui permettra aux collectivités d’être consolidés pour agir au service de la solidarité, de l’emploi, du développement économique et de l’aménagement du territoire.
Une réforme qui permettra à la démocratie d’être étendue et aux services publics locaux d’être renforcés.

Budget 2011 : des nouvelles actions pour les habitants et l'emploi

Les élus régionaux vont se prononcer lundi 13 décembre sur le budget 2011 de la Région. Dans un contexte difficile de crise, aggravé par la réduction des marges de manœuvre de la Région, les élus ont élaboré un budget dans lequel, une nouvelle fois, « chaque euro dépensé est un euro utile ».
Ce budget repose sur trois principes :
des dépenses dynamiques tournées vers l’avenir et la lutte contre le chômage ;
pas de hausse de la fiscalité pour la sixième année consécutive ;
une maîtrise de la dette, stable depuis 2005.
La Région en 2011 finance ses grands projets et continue à engager des actions innovantes pour les habitants du Poitou-Charentes.

Les grands projets régionaux :
  • le pacte pour l'emploi des jeunes, autour de l'accès à l'emploi, du développempent de l'apprentissage, de la formation et du service civique avec des actions financées dès 2011 et un budget de 15 millions € ;
  • le fonds de développement des éco-industries et des véhicules électriques, pour soutenir les projets nés du pôle des éco-industries et du salon de la croissance verte, et pour accompagner la diffusion des voitures électriques, avec une enveloppe de 12 millions € ;
  • le plan seniors, qui sera présenté en mars 2011 ;
  • les actions transervales en direction des femmes.  
  • Les actions innovantes de la Région pour 2011 :
  • renforcement des Bourses régionales désir d'entreprendre, à partir de l'expérience du micro-crédit pour les créateurs d'entreprise ;
  • mise en oeuvre du droit à l'alternative économique, avec le soutien renforcé à l'économie sociale et solidaire ;
  • abondement des outils régionaux de capital-investissement, pour le développement des PME face à la frilosité des banques ;
  • en agriculture, la production en proximité des lieux de consommation et une plus juste rémunération des producteurs;
  • modernisation des centres de formation des apprentis en utilisant des techniques innovantes et moins coûteuses, avec 8 millions € supplémentaires ;
  • un réseau public de conseil et d'orientation, pour mieux accompagner les salariés et les demandeurs d'emploi dans leurs besoins de formation ;
  • une incitation aux formations dans les filières débouchant sur l'emploi, en améliorant les rémunérations des stagiaires et en renforçant l'accompagnement dans les entreprises ;
  • la territorialisation de la formation sur cinq basssins d'emplois, pour rapprocher les actions des personnes à former et des besoins locaux ;
  • le soutien de la Région aux bacheliers entrant dans l'enseignement supérieur, notamment avec une garantie ou une bonification des prêts étudiants pour les familles à revenus moyens et modestes ;
  • des bourses de stage dans les PME en milieu rural pour les futurs diplômés de l'enseignement supérieur ;
  • l'expérimentation des supports numériques dans des lycées, en complément des 30000 ordinateurs déjà installés (un pour deux élèves) ;
  • la mise en oeuvre du plan d'économies d'énergie et pour le pouvoir d'achat, avec un fonds régional pour accompagner les travaux d'isolation et le soutien aux projets collectifs de maîtrise de l'énergie et d'énergies renouvelables pour 4,5 millions €
  • un accès au micro-crédit renforcé, en élargissant les points d'accès et le nombre de ses bénéficiaires ;
  • une augmentation des services de TER (+ 3,4 millions €) et le financement de dix nouvelles rames (+ 6 millions €), avec l'objectif de doublement des services de TER à l'horizon 2020 ;
  • la présentation du budget régional sous la forme de « budget carbone ».






vendredi 10 décembre 2010

Aux 2 B

C’est sûr, j’aurais pu penser beaucoup plus tôt à ce rapprochement. Si ce sigle fait immédiatement penser à une entreprise connue et reconnue sur le loudunais pour son professionnalisme dans le transport ambulancier, il évoquera désormais pour moi deux ne nos principaux élus sur le territoire : E. Bénas et B. Belin tant leurs comportements semblent parfois calqués l’un sur l’autre. Les deux derniers conseils municipaux de Loudun ont vu M. le Maire refuser de respecter son propre règlement intérieur concernant les questions écrites (en violation de l’article 6) et dans la même période, au Conseil de Communauté, son Président a fait la même chose. Le plus drôle est que c’est là aussi un article 6 qui est bafoué. Il y a des apparentements terribles. Dommage, on saura donc pas si l’absentéisme en conseil municipal est une billevesée ou préoccupe le maire pas plus qu’on ne saura si le président de la CCPL trouve de bon aloi de transformer son conseil en tribunal, ni s’il a dit son dernier mot sur le dossier des éoliennes et son enterrement définitif.
S’intéresser à la vie de sa commune, de sa région proche, se préoccuper de savoir si les élus en charge des responsabilités agissent dans l’intérêt général et répondent aux attentes des électeurs et contribuables que nous sommes va relever de l’acrobatie. Pourquoi tant de mépris envers ceux qui ne pensent pas comme vous ? Le droit à la différence n’existera-t-il donc jamais en Loudunais ? Il y a au quotidien tant de domaines où seule la conjonction des énergies peut permettre d’aboutir qu’il est vraiment regrettable d’œuvrer au découragement. Aux 2 B : B comme brancard, mais aussi B comme Bobards car on en entend vraiment de toutes les couleurs. En ces temps de gel, souhaitons bon courage aux vrais ambulanciers et quant aux autres…souhaitons qu’ils sachent un jour ouvrir les yeux.
Philippe Fortin
Loudun pour un avenir solidaire

mercredi 8 décembre 2010

Rencontres de la gauche loudunaise

Hier soir la gauche loudunaise s'est reunie pour débattre des possibilités et des manques dans les 4 cantons
Nos invités , Jean François Macaire et Guy Monjalon ont presenté les différentes attributions obligatoires et facultatives du conseil général et du travail en partenariat avec le conseil régional
Quelques chiffres: budget du conseil général 400 milions d'euros dont la moitie pour le "social"(personnes agees, rsa, etc etc)
Il est important de savoir qu'a ce jour l'état, si genereux avec les banques, doit 190milions d'euros au departement de la vienne et que les conseillers de droite, dans leur grand courage, refusent de lancer une procedure pour recuperer l'argant qui leur est du par la loi.C'est vrai qu'il ne faut pas se facher avec le "grand chef" et lui laisser faire du saupoudrage sénatorial sur la réserve parlementaire .Pendant dce temps la "france d'en bas" souffre de plus en plus.
La question  du center park a aussi ete abordée et si, la gauche ne peut que se rejouir de l'installation dans le loudunais d'une telle strcture il ne faut pas eluder les questions qui comme par hasard sont restées dans l'ombre(assainissementpour 3000 residents en moyenne,voirie,realité des emplois crées , retombées economiques sur les entreprises du secteurs etc ) .lLa société créatrice n'etant pas encore une entreprise philantropique , son seul objectif (et c'est logique) est de gagner le maximum d'argent. il est donc de la responsabilité des élus d'acter un cahier des charges précis afin d'éviter le maximum de dérives financieres et sociales
D'autres questions ont ete abordées , l'illetrisme avec la diminution substantielle des subventions a l'association qui s'en occupe, la desertification médicale de loudun ,le peu ou pas de transport public dans les zones rurales  au moment ou l'on parle d'ecologie, l'aide aux parsonnes agées et des services a la personne et bien d'autres sujets encore .

La soirée s'est terminée par un verre de l'amitié et nous tenons a remercier vivement toutes les personnes qui ont donné de leur temps pour debattre de nos preocupations  et merci a Jean Francois Macaire et a Guy Monjalon de s'être deplacé pour nous informer   

mardi 7 décembre 2010

Ségolène Royal a participé à l'Assemblée générale de Mia Electric

Ségolène Royal a participé, lundi 6 décembre, à Paris, à l'Assemblée générale de Mia Electric. La Région est actionnaire de cette société dans laquelle elle détient 30 % du capital et qui a repris les activités de Heuliez Véhicule Electrique. Ségolène Royal, Présidente de la Région Poitou-Charentes, a participé, lundi 6 décembre, à Paris, à l'Assemblée générale de Mia Electric, société franco-allemande qui produit les voitures électriques Mia à Cerizay (Deux-Sèvres). La Région est actionnaire de cette société dans laquelle elle détient 30 % du capital et qui a repris les activités de Heuliez Véhicule Electrique.
Cette Assemblée générale, à laquelle assistaient pour la première fois les représentants du personnel, après le renouvellement du comité d'entreprise, a permis de faire le point sur l'avancée de la production industrielle du véhicule qui est prévue pour le printemps prochain. La ligne de production des premières séries a commencé ce matin et les actionnaires allemands et français ont pu constater que le calendrier prévu était respecté. l'Assemblée générale a également permis un échange plus général entre les actionnaires et les représentants sur la marche de l'entreprise, au moment où redémarre le processus de production.
L'assemblée générale des actionnaires a validé le développement de la commercialisation et du dévelopement de la Mia en Allemagne, grâce au partenariat mis en place avec la société Mia Electric Gmbh. Elle a également procédé à la désignation de M. Laurent Buffeteau, actuel directeur administratif et financier et ancien cadre de MIchelin, comme directeur général.

samedi 4 décembre 2010

Augmentation du prix de l'électricité, il faut faire la lumière

L’augmentation de 3 % du prix de l’énergie électrique est présentée par le Gouvernement comme la facture à payer par les usagers du fait du surcoût du rachat de l’énergie solaire par EDF. En réalité, nous assistons à une vaste opération de manipulation. Compte-tenu du mode de calcul actuel de remboursement de surcoûts, cela voudrait dire que près de 4 000 MW d’installations photovoltaïques seraient en service dans notre pays, alors qu’il y en aura tout au plus 800 MW fin 2010 !
Il faut noter par ailleurs que la CSPE, Contribution au service public de l’électricité, liée à l’obligation d’achat par les opérateurs, a été bénéficiaire pour EDF de 670 millions d’euros en 2009.
En réalité, cette augmentation du prix de l’électricité est la contribution des ménages français à la politique d'acquisition d’EDF sur le marché du nucléaire aux Etats-Unis.
Elle répond à d’autres objectifs que ceux qui sont évoqués !
Cette nouvelle augmentation, venant après celle du mois d’août, pèsera lourdement sur le pouvoir d’achat des ménages dont nous savons que 3 400 000 d’entre eux sont en situation de précarité énergétique.
Ces derniers déjà contraints de consacrer plus de 10 % de leurs revenus à la consommation d’énergie pour se loger et se chauffer, vont voir leur pouvoir d’achat affecté d’autant. Pendant le même temps, la loi de finances pour 2011 est venue réduire les crédits d’impôts aux énergies renouvelables dont le but est de faire baisser la facture énergétique !
Cherchez l’erreur…

mercredi 1 décembre 2010

Fonds de soutien aux Départements :

 l’Etat organise une opération caritative indigne des attentes

Le projet de loi de finances rectificative pour 2010 prévoit la création d’un Fonds exceptionnel de soutien en faveur des départements en difficulté doté de 150 millions d’euros. Selon les estimations de l’Association des Départements de France (ADF), un abondement d’au moins 2,5 milliards d’euros pour la seule année 2010 serait nécessaire pour que ce fonds soit réellement pertinent. Cherchez l’erreur…
Pour Claudy LEBRETON, Président de l’ADF, cette mesure n’est pas à la hauteur de la situation financière des Conseils généraux. Ces derniers doivent faire face à des dépenses sociales croissantes (13,4 milliards d’euros en 2010) et le reste à charge net supporté par les budgets départementaux représentera, pour la seule année 2010, un montant de 5,3 milliards d’euros.
Selon une récente note de conjoncture publiée par Dexia, la progression des recettes (+ 5,3 %) pour les départements éponge à peine la croissance des dépenses sociales (+ 6,9 %), sans réduire les déséquilibres structurels que le Gouvernement se refuse à affronter. La preuve est apportée de l’étranglement financier des départements. Les décisions prises par le Gouvernement pèsent aujourd’hui lourdement sur les budgets départementaux.
On l’aura compris, ce n’est pas un fonds exceptionnel sous doté qui endiguera une hémorragie financière que les Conseils généraux sont obligés de subir. Le manque à gagner était de 4,5 milliards d’euros en 2009, puis de 5,3 en 2010 et s’élèvera selon les prévisions à plus de 6 en 2011.
Ce déséquilibre plonge d’ores et déjà une vingtaine de Départements dans d’importantes difficultés financières. La fausse charité gouvernementale résonne alors plus comme un abandon que comme une véritable prise de responsabilité.