dimanche 25 mars 2012

QUI C'EST ??

source wikipedia
Carrière politique et associative
Franc-maçon depuis la fin des années 1960 en étant d'abord initié dans l'atelier marseillais des Vieux Amis de la GLDF (fréquentée par son père), il rejoint ensuite la GLNF[3].
Il adhère dès sa jeunesse au Parti socialiste[1]. En 1981, il entre au comité de soutien de François Mitterrand pour sa candidature à l'élection présidentielle[4].
En 1988, il figure dans le clip de campagne de Pierre Boussel (candidat du Mouvement pour un parti des travailleurs) pour l'élection présidentielle[5].
En 1990, il est exclu du MRAP en même temps qu'il en démissionne, suite à son annonce de la défense de Bernard Notin dans un procès pour négationnisme, alors qu'il était membre du Secrétariat national du mouvement[6]. La même année, il soutient l’organisation des « Premières Assises en Défense de l’Immigration », montées par le CNDTI (Comité national pour la défense des travailleurs immigrés), et dénonce le "vocabulaire microbien" de Jean-Marie Le Pen[5].
En 1992, il quitte le Parti socialiste lors de l'entrée au gouvernement de Bernard Tapie[1]. L'année suivante, il devient le président du comité de soutien à Hervé Fabre-Aubrespy, adversaire RPR de Bernard Tapie aux élections législatives dans la dixième circonscription des Bouches-du-Rhône[7].
Alors qu'il avait déclaré au Midi Libre en 1997 : « Je veux bien courtiser la politique, mais pas coucher avec elle », il est candidat à la mairie de Vichy en 2001, se disant investi par Démocratie Libérale[1], le Parti radical valoisien (PR) et le RPF[8]. Il est battu par Claude Malhuret (maire sortant disposant de l'investiture Démocratie Libérale (dont il est secrétaire national) - PR - RPR - UDF[8]) et Gérard Charasse, de 350 voix ; mais il est élu au conseil municipal, où il choisit finalement de ne pas siéger[9] pendant les sept années de son mandat.
En 2005, il déclare à France Soir être "radical et chiraquien" et "rejeter les extrêmes"[1].
A nouveau candidat à Vichy sous l'étiquette Nouveau Centre lors des élections municipales de 2008[5], il arrive troisième. Il ne se maintient pas au second tour et appelle à voter pour la liste conduite par Gérard Charasse (Parti radical de gauche), qu'il avait qualifié de « vrai baudet à mandats » lors de la campagne de 2001[8].
Proche de Marine Le Pen depuis la défense de sa mère Pierrette Le Pen dans son divorce avec Jean-Marie Le Pen[1], il préside son comité de soutien depuis 2011, et se déclare « mariniste » et favorable au principe de la préférence nationale défendue par le Front national, en mai 2011[10].
Il annonce sa candidature aux élections législatives dans la deuxième circonscription du Gard le 15 janvier 2012[11].

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire