mardi 10 août 2010

Démission de Dominique Bussereau

Posted by Bonzon Luc on 8/04/10 • Categorized as Communiqué de Presse Dominique Bussereau, Secrétaire d’Etat aux transports, Président du Conseil Général de la Charente Maritime vient de démissionner de son mandat de conseiller régional justifiant avoir accompli sa mission au sein de la Région Poitou-Charentes.
Il faut rappeler que Dominique Bussereau avait promis, lors de la campagne des régionales de 2010, qu’il se consacrerait aux problèmes des picto-charentais et qu’il souhaitait prendre part dans les différents débats régionaux. Aujourd’hui, les Jeunes socialistes se demandent quelle mission Dominique Bussereau a accompli à la Région, ayant surtout brillé par son absentéisme au sein de l’assemblée régionale.
Un mandat électif est synonyme d’engagement pour faire changer la société dans laquelle nous sommes, et de représenter les nouvelles aspirations des citoyens. Par cette démission, M. Bussereau ne respecte pas ses engagements pris devant les Français (tout comme son Gouvernement), ni même la mission que ses électeurs lui ont donné. Par cette démission, le Secrétaire d’Etat aux transports estime que la majorité de gauche au Conseil régional de Poitou-Charentes, menée par Ségolène Royal, prend les bonnes décisions pour le territoire, et répond aux aspirations des picto-charentais.
Le cumul entre ses fonctions ministérielles et électives doit être interdit pour éviter tout conflit d’intérêts afin de servir au mieux les intérêts de la République. C’est pourquoi nous défendons le mandat unique, une personne/un mandat, pour que la démocratie prenne un nouveau souffle et que cesse la République bananière de Nicolas Sarkozy, présentée comme sa République irréprochable. Peut-on se targuer de représenter l’ensemble des Français lorsqu’un élu cumulard touche 21031€ d’indemnités par mois, alors que nos concitoyens sont touchés par la crise et le chômage ?

1 commentaire:

  1. L"arrogance d'Olivier Chartier et de veronique Abelin est mise en sourdine
    Pas bien quand le "chef" demissionne
    bel exemple pour les electeurs

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